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Samed laaouane Etudiant en Master1 innovation en communication à l'université de paris XIII

Découvrez pourquoi vous avez besoin d’un Portfolio E-learning

Soyez au rendez vous quand les opportunités se présentent:
Les opportunités existent. Cependant quand vous n’êtes pas préparé, ne vous embêtez pas à chercher, car quand vous le faites vous ne savez pas toujours comment le faire, par contre si vous avez un portfolio, quand vous trouvez une offre d’emploi potentielle (ou une autre opportunité) vous pouvez rapidement vous vous en emparez, alors qu’au cas contraire vous pouvez même être dissuadé de tenter de postuler.
En plus c’est parce que vous gérez un portfolio de vos compétences, que vous pensez plus et toujours aux compétences requises pour rester à jour, cela devient alors une motivation pour apprendre plus.
50 personnes environ m’ont dit qu’ils n’avaient pas de portfolios et que ça leur prendrait une semaine ou plus pour tout rassembler. Quelques opportunités ont une durée de publication limitée et une semaine (ou quelques jours) peuvent être trop long. Dès qu’une opportunité se présente vous devez être en position de prendre l’avantage.

Contrôler sa propre destinée : 


De nombreux développeur E-learning rencontrent deux problèmes principaux. Tout le boulot que vous faites est propriétaire donc vous ne pouvez pas le publier ou les attentes d’une entreprise cliente ne reflètent pas vos compétences.
Beaucoup de personnes m’ont affirmé qu’ils ne pouvaient pas partager ce qu’ils ont réalisé, ceci est raisonnable pour une entreprise mais pas pour vous. Ne permettez pas que leurs contenus rendent ainsi vos compétences propriétaires, de la même manière ne laissez pas leurs attentes modestes définir vos compétences.
Il y’a quelques années de cela j’ai travaillé pour une petite communauté hospitalière, c’était un bon endroit pour travailler. Cependant ils n’avaient pas assez d’argent et j’étais forcé à être créatif avec mes projets. C’était une épée à double tranchant. D’une part la majorité des acquis et compétences que je partage aujourd’hui viennent de mon travail reposant sur un budget et des ressources limités, d’autre part quand je marquais des points avec ma créativité, les projets que je produisais n’étaient pas le genre de projets que je pouvais utiliser pour décrocher un job ailleurs. C’est pour cela que j’ai du créer et maintenir un portfolio séparé de mes compétences.
Voici une autre manière de voir et de considérer l’économie actuelle, si vous perdez un emploi, vous perdez beaucoup de travaux avec, un jour vous êtes content au boulot et le jour d’après vous êtes à la rue sans aucun accès à vos anciens projets et outils utilisés pour les réaliser .pour ces raisons, c’est important de maintenir un portfolio.

Que doit-il avoir dans votre portfolio : 


Le E-Learning est une industrie diversifiée, personnellement je pense que vos compétences doivent être comme une éducation artistique libérale ou on touche à plusieurs choses à la fois. Par conséquent voici une liste de compétences que vous serez à la fois capable de mettre en évidence dans votre portfolio et en parler pendant un entretien.

  • Design éducatif : Avez vous des exemples de différentes approches d’apprentissage de design ? J’en ai vu plusieurs et la plupart sont linéaires. Prenez des exemples sur comment impliquer et engager vos apprenant et comment peuvent-ils interagir avec le contenu.
  • Design Graphique : Pendant que tout le monde parle du design éducatifs, je pense qu’une considération du design visuelle est tout aussi importante , en fait ce qui démarque un candidat d’un autre ce sont ses compétences en design , si les candidats sont égaux , on prendra volontiers celui qui a un bon sens visuel car ça implique d’autres domaines à savoir ( la communication , la faisabilité…)
  • Présentez différent projets : ne montrez pas 400 cours qui sont tous pareils, si c’est tout ce que vous avez alors passez un peu de temps à créer d’autres exemples. Vous n’avez pas à mettre tout le contenu des cours, créer une interaction ou un scénario. Prenez un sujet et essayez de le faire en trois propositions différentes.
  • Gestion de projet : vous n’avez pas à être un chef de projet mais vous devez comprendre comment gérer un projet du début à la fin. C’est quoi le processus de production d’un cours E-Learning? Combien d’heures ça vous prend de créer un cours ?quelles sont les ressources nécessaires à sa création ? Combien ça coute de produire un cours ?
  • La rédaction: j’aime bien laisser les choses simples. Donc pour moi il existe deux façon de rédiger : une façon technique et une façon ou on adopte le style de la conversation. Comment pouvez-vous rédiger pour documenter des procédures et fournir le bon niveau d’orientation ? À savoir qu’il existe aussi quelques projets qui ne sont pas techniques et nécessitent plus un ton de conversation.
  • La technologie : vous n’avez pas à être des ingénieurs de logiciels, mais vous devez connaitre l’essence des technologies et comment ils marchent tout en sachant que plus vous êtes familier à des outils plus c’est mieux, plus vous êtes compétent avec des logiciels, plus vous serez favorable par rapport à d’autres candidats moins familier que vous.

Initiation :
quelques conseils pour vous aidez à débuter : 

  • entamez une étude de cas pour chaque projet sans pour autant en faire des exorbitants. Décrivez les objectifs de votre projet, ce que vous avez fait et les résultats. Si vous en avez des exemples ajoutez-les, sinon au moins ajoutez des captures d’écrans.
  • Créer un blog pour documenter votre apprentissage. Utiliser le pour illustrer ce que vous faites et les idées que vous avez durant le processus de production. Si vous avez besoin d’idées pour commencer, regardez quelques démos sur ce blog « http://www.articulate.com/rapid-elearning/heres-why-you-need-an-e-learning-portfolio/ » . prenez une idée et essayez de la développer.
  • Connectez-vous avec les autres. Un portfolio n’est pas un bon si vous n’avez pas de place pour le montrer et le partager (votre blog ou votre réseau). La meilleur chose avec un blog ou d’autres outils comme les réseaux sociaux (facebook /twitter/linkedin/Viadeo) c’est qu’on se connecte avec d’autres personnes qui partagent nos intérêts. Vous allez beaucoup apprendre et les autres vont vous connaitre et tenir compte de vos compétences. C’est une excellente chose que de se préparer pour des opportunités.

Si vous voulez rester dans ce domaine et cette industrie et maintenir vos compétences, avoir un portfolio est crucial. Vous ne pouvez pas toujours contrôler vos circonstances, mais vous pouvez contrôler comment vous vous préparer pour.

Article traduit en français par Samed laaouane.

Article source : http://www.articulate.com/rapid-elearning/heres-why-you-need-an-e-learning-portfolio/.


Le E-Learning contemporain : la diffusion des connaissances ou la distribution d’informations?

Ou est la connaissance que nous avons perdue dans l’information ? T. S. Eliot

C’est une question bien pertinente que nous devons nous poser. Une fois nos modules et nos prestations finies on est extrêmement fiers d’avoir pu respecter les échéances du projet -c’est à dire les délais- ainsi que le budget initial, cependant quelque part dans notre quête de mise en valeur de notre potentiel, il se trouve que nous ayons pu oublier l’objectif principal de notre mission qui n’est autre que : Transmettre des connaissances et des fois même apporter une expertise.

La question qui se pose est : comment peut-on différencier les connaissances de l’information ?

Les apprenants acquièrent des connaissances quand ils utilisent les informations fournies pour concevoir des choses et de la recevoir des commentaires et des feedback sur leurs réalisations. Les cours que nous créons mettent à disposition des apprenants des tonnes d’informations. Toutefois on ne peut pas les considérer comme connaissances jusqu’a ce qu’elles soient exploitées par les apprenants (appliquées, critiquées, organisées ou manipulées). Réfléchissons sur ce que nous faisons lorsque nous apprenons quelque chose. Il existe de nombreux modèles du processus d’apprentissage qui ont été créés au fil des ans; regardons un modèle assez simple développé par Hughes, Toohey et Hatherley (Hughes, C., Toohey, S., & Hatherley, S. 1992, «“Developing learning-centred trainers and tutors”», études en éducation continue vol. 14, no. 1, pp 14-27.)

Si on veut vraiment que les apprenants qui suivent nos cours acquièrent des connaissances, il faut mettre à leur disposition une plateforme ou ils peuvent commettre des erreurs et par laquelle on peut leur fournir des commentaires significatifs. Tout ceci nous ramène à notre première interrogation, est ce qu’on diffuse des connaissances ou distribuons nous des informations ?

Pensez-y

Article rédigé en anglais par Abhijit Kadle | December 30th, 2010 (http://paper.li/weejeelearning/e-learning)

Traduit en français par : Laaouane Samed.


Les secteurs d’application du serious gaming

 De nos jours l’utilisation du serious game peut-être relevée  dans plusieurs  secteurs à savoir celui de l’éducation, de la formation, de la défense, de la santé, de la simulation, de la communication, du marketing, de l’ergonomie, de la sécurité civile, de la politique, de la religion, de l’art, de l’industrie, de la muséographie, de la finance, des procédés de vente, du télémarketing, de la sécurité au travail, de la gestion de carrière et bien d’autres … car les serious games ont une visée qui s’écarte du seul divertissement ce qui justifie les champs d’applications qui de ce fait sont très vastes. Par conséquent, le recours au serious game dans des secteurs est bien plus significatif , prenons quelques exemples pour illustrer cet emploi .

 Secteur de la défense:

 C’est l’un des plus importants secteurs du serious gaming. L’armée américaine le soutient  activement en commanditant des « military games » à l’instar d’America’s Army. Aux Etats-Unis, il y a une forte assimilation entre l’armée et les serious games. En Europe, des applications militaires sont également recensées mais de façon moins importante : on recense par exemple IPCA de Script’Games studio.

Secteur de l’enseignement et de la formation

Les applications ludo-éducatives, lorsqu’elles intègrent une véritable base vidéoludique avec des supports richmedia  représentent un sous-ensemble du serious game. Les marchés de l’éducation, de la formation et  du e-learning constituent des secteurs que le serious game investit naturellement, comme par exemple le programme de recherche Education arcade du MIT (Massachusetts Institute of Technology) avec ses projets de serious games: Labyrinth, Revolution, Supercharged… D’après IDC (International Dockworkers Council), 40% du marché du e-learning étasunien utilise le serious gaming . Ce qui approuve que  le secteur de l’enseignement et de la formation est donc significatif pour le marché du serious game.

Secteur de la publicité

 Les serious games dédiés à la publicité offrent la particularité d’exposer sur toute la durée d’une partie vidéoludique l’utilisateur à une marque ou un produit. Cette approche vient en général compléter le panel des outils dédiés à l’e-commerce, à l’instar du site de Playmobil. Sur le seul territoire des Etats-Unis, l’advergaming pèse, en 2008, 262 millions USD. Ce marché peut représenter jusqu’à un cinquième du marché global du serious gaming.

Secteur de l’information et de la communication

 Les serious games peuvent véhiculer des messages, des informations dans tous les domaines : valoriser des métiers industriels comme c’est le cas de Technocity, appréhender les maladies sexuellement transmissibles (MST) comme Interactive Nights Out, exposer des problèmes humanitaires tel que le propose Food Force, dénoncer des conflits géopolitiques comme le fait Darfur is dying par exemple , On notera que ce secteur se combine souvent avec celui de la publicité sous forme de marketing viral ou d’edumarket games. Si le secteur de l’information est probablement anecdotique en termes de marché pour l’instant, la dimension communicationnelle liée à de la publicité entre quant à elle dans le marché du in-game advertising, qui pèse 205 millions USD aux Etats-Unis pour 2008. En 2012, il est estimé d’après Marketer.com à 650 millions USD, ce qui approuve que les serious game dans se secteur sont non seulement des activités ludiques mais une vraie stratégie de communication.

 Secteur de la santé

 Les serious games dédiés au secteur de la santé ont pour vocation d’améliorer les capacités mentales et physiques des utilisateurs. Dans ce registre, un titre phare est le Programme d’entraînement cérébral du Dr Kawashima : Quel âge a votre cerveau ? qui propose d’évaluer l’âge de son cerveau en effectuant une série d’exercices (QCM, Sudoku, jeux d’observation…), et qui permettrait d’entretenir ou d’améliorer ses performances cognitives. Selon Nintendo, l’éditeur de l’application, Wii Fitness permet aux utilisateurs de stimuler le rythme cardiaque, d’améliorer l’équilibre ou encore de renforcer les muscles… Ce marché du Brain Fitness est actuellement florissant ; en 2007, il pesait sur le seul territoire étasunien 225 millions USD. Un ordre de grandeur comparable à celui du in-game advertising. Il existe également des applications plus confidentielles élaborées par le milieu de la recherche en collaboration avec des hôpitaux, comme par exemple, le projet autisme qui s’adresse aux enfants autistes. De nombreux acteurs du serious games dont Ben Sawyer tablent sur une forte croissance du serious game dans le secteur de la santé.


Incompatibilité du groupe cible avec le projet E-learning

Au cas où le groupe cible ne répond pas à certain nombre de critère de la réussite de l’E-learning (voir article précédant). Il faut prévoir des solutions en fonction du manque de l’apprenant.

Si l’apprenant n’a pas de connaissances de base en informatique, une formation de base en cette matière doit être envisageable.  S’il a des difficultés à effectuer des recherches sur internet, il faut prévoir une initiation à internet. Pareil si l’apprenant n’est pas multilingue et autonome, il faut prévoir  une formation en langue  et un accompagnement intensif.

Par ailleurs, si l’apprenant manque de motivation.  Il faut se demander s’il est possible de prévoir de la motivation externe telle qu’une promotion ou une rémunération.  Si non, il faut examiner la possibilité de combiner différentes méthodes d’apprentissage.  Si la combinaison de plusieurs méthodes est possible, le projet e-learning aura plus de chance de réussite. Au cas échéant, il faut prévoir une autre méthodologie.


Le profil des apprenants : critère de la réussite de l’E-learning

Comme l’e-learning n’est pas une formation appropriée pour tous les apprenants. Il faut s’assurer du de la compatibilité du groupe cible avec le projet e-learning. Pour y parvenir, le groupe cible doit répondre à certaines critères qui augmentent les chances de réussite du produit  e-learning. Plus la comptabilité est élevée, plus le produit en e-learning sera susceptible d’être utilisé.

Le groupe cible doit avoir des compétences  informatiques.  L’apprenant doit être  un internaute capable de rechercher spontanément sur internet. Il doit également être multilingue, capable de comprendre les instructions en Anglais. Notamment, de percevoir l’utilité de la formation.

La motivation est aussi importante que l’autonomie dans la mesure où un apprenant motivé à tendance à chercher des solutions  et à poursuivre ses efforts jusqu’au bout aussi bien qu’un apprenant débrouillard à tendance de chercher seul avant de demander de l’aide.


Serious games en entreprise

De nos jours, les serious games s’imposent sur le marché comme un nouveau support de formation des salariés. La formation des collaborateurs avec un tel processus passe  pour un vrai jeu d’enfant.

On trouve parmi les composants de la formation Serious games le  management,  la gestion de la diversité ainsi qu’un entretien annuel d’évaluation

Contrairement au présentiel,  le stagiaire est représenté par un avatar dans une agence virtuelle. Il est posé dans plusieurs situations devant un client et il doit réagir en fonction de l’attitude et des propositions de l’apprenant. Pour chaque type d’entretien, le stagiaire est emmené à passer par toutes les étapes.

Pour l’entretien de vente, par exemple, ce dernier commence par l’accueil du client dans une agence, la conversation, jusqu’à la détermination des besoins du client et autres.



Comment déterminer le besoin de l’E-learning en entreprise ?

Avant de commencer à penser à l’e-learning, il faut tout d’abord se poser la question de savoir si une telle formation est bien nécessaire. et, afin de déterminer le besoin de l’e-learning, il faut déterminer le besoin de l’entreprise en posant une problématique  et en procédant à l’analyse de cette dernière.

Si le besoin de la formation s’avère nécessaire, il faut  étudier l’opportunité de l’e-learning dans l’entreprise.  En premier lieu, il faut définir les objectifs pédagogiques. Ensuite, examiner le nombre de personne à former vu que ce nombre d’apprenants influence sur le coût. Et finalement, parcourir les caractéristiques  du groupe cible et leur flexibilité en déterminant le niveau du départ du groupe, les objectifs, le contenu de formation, l’emplacement géographique etc. plus les caractéristiques sont identiques,  plus le choix pour une méthodologie flexible telle que l’e-learning s’impose.


Réussir son projet E-learning

Pour bien définir son projet E-learning dans une entreprise, il faut bien définir son besoin.  Tous les salariés peuvent être éligibles à une formation en e-learning. Pour ceux qui  ne disposent pas d’ordinateur, les cours peuvent tout à fait avoir lieu dans un centre de ressources commun à l’ensemble du site. Les cadres, les techniciens et les agents de maîtrise sont les plus concernés, dans la pratique, par ce type de formation.

Le principal atout de l’e-learning demeure  en premier lieu dans le fait qu’il soit bien adapté aux programmes que l’on veut faire suivre par un grand nombre de salariés. Ensuite, pour  le fait qu’il soit bénéfique et rentable à l’entreprise. Cela dit, lorsque les salariés se trouvent sur des sites différents, une formation en salle coûterait en effet très cher et nécessiterait une organisation bien plus lourde. Avec l’e-learning, les salariés concernés se forment où ils le veulent et quand ils le veulent. De même, le programme  peut être utilisé plus tard dans le temps, pour des révisions ou pour de nouveaux collaborateurs par exemple, sans qu’il y ait besoin d’organiser une nouvelle session.  Néanmoins,  cela ne doit pas empêcher de suivre une formation présentielle  qui s’avère désormais nécessaire   dans certains domaines  tels que le management.


Les aspects du E-learning en entreprise

Le E-learning peut être conçus comme un support d’une formation en présentiel , c’est à dire un complément de cette formation ou la mise à disposition de ressources permettant l’accès ultérieur à l’information . N’empêche qu’il peut aussi être le seul et unique support de la formation.

Ceci dépend des ressources humaines de l’entreprise , des « sujets » de la formation qu’on appelle plus adéquatement dans le jargon de l’E-learning, les apprenants , car comme le E-learning est issu d’une innovation en matières d’enseignement pédagogique et de nouvelles technologies il est parfois perçus comme un calvaire pour des apprenants non formés aux nouvelles technologies, pour eux c’est plus une question d’un travail de plus à effectuer qu’une formation, d’ou la nécessite d’un cours en présentiel et une sensibilisation ascendante du principe de la formation en E-learning ainsi qu’une approche des TIC de base.

(71 %)  des entreprises françaises proposant des formation utilisent  le e-learning en soutien d’une formation en présentiel, ou au cours d’un stage. A l’opposé  seules 29 % des entreprises indiquent se servir du e-learning comme support unique de formation et les raisons de ces dernières varient d’entreprise en entreprise mais majoritairement c’est du à des contraintes de temps, d’espace et loin des contraintes c’est du dans des cas à une conviction et à une confiance en cette formule de formation , pour eux c’est toute une procédure de responsabilisation des salariés et une éventuelle mise à disposition de moyens d’évolution individuelle.


Toc Toc !! oui Qui est la ? C’est le E-learning

Effectivement on l’a vu venir , car la formation des salariés fut ces dernières années une préoccupation majeure pour les entreprises dans plusieurs secteurs pour ne pas dire dans tout les secteurs . Bien  évidemment  quand on parle de formation on parle aussi de budget de temps et d’espace et pour les ressources humaines c’est un petit casse tête  dans la mesure ou on est dans l’ère  de l’entreprise évolutive , une entreprise qui avance  et qui se met à jour .

C’est dans ce contexte qu’on a bien accepté cet invité :  » le E-learning » . Aujourd’hui 67 % des entreprises françaises ont tendance à mettre en oeuvre ce concept et estiment avec conviction que ces outils sont bien adaptés et surtout bien rentables, et ce n’est pas tout car ces entreprises  vont même jusqu’à y consacrer de 5 a 10% de leurs budgets de formation.

Une étude menée récemment démontre que parmi les 67% d’entreprises françaises utilisant cette formule de formation,46% sont encore en phase de test et n’ont réalisé  que peu de projet tandis que 21% l’utilisent bien couramment , ce qui montre qu’il y’a une certaine vitesse d’adaptation qui peut être relative à l’activité exercée par l’entreprise .

à noter que  les entreprises les moins réfractaires à cette formule de formation sont plus des entreprises d’informatique , de nouvelles technologies de communication et celles nécessitant la pratique des langues et l’évaluation permanente du salarié .